Indolente sur un naïn de soie pâle, courbes bleues et lascifs entrelacs,

seins contre la soie de gazelles bondissantes sous les saules, près de fontaines de poésie.

Paresseuse sur une soie étale, dans un refuge aux murs de terre, aux lumières de cristal,

aux photophores délicats, fenêtres ouvertes sur la tiédeur mauve d'un jardin de lune.

Nuages

 

Mais la vie de la nuit est partie à jamais dans le rêve de l'aube.
 
 

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