Oasis de Siouah: Cléopâtre sy baignait à la lune. Leau douce et tiède y sourd encore du sol mystérieux.Mais puissante et sans fin par grandes bulles lourdes que le fond émane vers la pâleur des palmes.
Lhomme senfonce superbe dans la tranquille transparence, musculeux et maître. La femme gardée
bat son linge au lavoir proche, effarouchée et forte, les seins riches. Lâne à la carriole attend à lombre
du mur de terre. Les heures vont, étales dans lécrasement impavide de lété ; tout à fait présentes.
suivre
retour au sommaire